Camp de Pâques -Dimanche-
Après avoir passé la nuit sous un D.T. (voir sous la pluie pour certain !), nous nous réveillions, encore un peu fatigué, mais bien content que la pluie est cessée de tomber. Nous rangeons rapidement le bivouac et à 7h345 nous sommes partis. Nous arrivons juste à l’heure au rendez-vous donné, sur le bord d’une route où nous retrouvons le chamois et l’Aigle. Suit un largage d’intendance « explosif » (allez comprendre que toutes les briques de lait ont explosées !) qui égaya bien les scouts et fit découvrir aux plus jeunes les joies et imprévus d’un grand jeu. Nous commençons à marcher un cinq centaine de mètres et là nous posons pour petit-déjeuner, chaud ! (par souci de politesse, je ne rappellerais pas que les autres patrouilles ont déjeuné froid !) après ce repas qui nous réchauffa (enfin, je parle pour nous !), nous nous remettons en marche vars le point de rendez vous où nous devions être à 9h30. Arrivé à 9h25 (attendez, mais qu’est ce que vous croyez ?!), nous attendons les autres patrouilles. Commence alors un nouveau combat pour, je cite, « savoir quelle patrouille était digne de devenir la garde impériale », si je ne m’abuse. Le principe était simple : un scout par patrouille avait un sifflet accroché au ceinturon, le but était de siffler dans celui du camp adverse sans qu’on siffle dans le sien. Au début, je l’avoue, nous avions une assez bonne technique communément appelée « bourrin », que nous nommerons ici de « stratégique ». Bref après 2 ou 3 victoires à notre palmarès, les combats s’intensifient et les patrouilles commencent à se regrouper. Les boucles de ceintures cassent, les ceinturons volent, et j’en sais quelque chose !...
Bref, une fois ces combats acharnés terminés, nous devons nous diriger vers la petite ville nommée Episy. Une fois arrivé à l’entrée de bourg, nous devons entrer dans l’église sans que les nombreuses sentinelles postées autour ne nous voient. Ce fut, pour toutes les patrouilles une mission accomplie ! Nous nous asseyons alors sur les bords du Loing et commençons à pique-niquer. A ce moment, Philipe commence à faire des trajets inconnus des scouts qui se révéla être l’aérodrome d’Episy. Une fois toute la troupe arrivé en ce lieu, nous voyons atterrir sur ce petit aérodrome un quadriplace jaune piloté par un jeune homme, en uniforme scout, foulard de routier autour du cou ! Celui-ci se présenta et nous appris les différents principes qui permettent à un avion de voler et les différentes parties de l’aéronef.
Commence alors des tours en avion, par groupe de 4, durant 20 minutes où nous découvrons les joies (et les peurs !) de voler. Come notre patrouille débutait les rotations, nous finissons notre tout en premier (et oui, c’est logique !). Nous devons alors découvrir des messages codés par Hasina à la signification totalement inutile ! Une fois ces messages décryptés, Philippe nous amène pour une autre activité qui se révéla être une initiation au tir à l’arc par Goulven. Nous remportons le challenge contre l’hermine, tout en essayant de ne pas tirer sure les quelques moto-cossard fou-furieux qui déambulaient où nous tirions. Une fois les tirs finis, quelques scouts s’emploient à sauter le plus loin possible dans une descente de terre tandis que d’autres continuent à tirer. Une demi-heure plus tard, Philippe revient de la gare où il était parti cherché Marin et nous raccompagne au lieu de cap. Nous y finissons l’installation du coin de pat’ et commençons la préparation du diner. Une fois celui-ci dégusté, la veillée débute, vers 21h3, et c’est sous les battements de main de notre patrouille que des chants s’envolent vers la cimes des arbres.. Mais quelle fut la surprise de Florian lorsqu’au jeu de la machine à grossir il reçut en pleine face une gamelle d’eau un peu trop remplie !
Une fois la veillée terminée, le Seigneur remercié pour ses bienfaits, nous nous endormons, chacun se mémorant chacun un moment différent fascinant de cette inoubliable journée !